Le ministère a des idées, et la banque les finance
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Le ministère de l’Education nationale a lancé, et gère, plusieurs lycées assurant des classes préparatoires pour les grandes Ecoles. L’idée est très certainement louable mais pour cela, il faut procurer aux élèves, pour la plupart très méritants, les moyens de leurs ambitions. Ces moyens passent par une structure numérique et les supports qui vont avec.
Or, il se trouve qu’à Casablanca, les centres concernés sont équipés du matériel informatique, mais ne sont pas toujours connectés, régulièrement du moins, à l’internet, et donc encore moins au wi-fi. Les étudiants, eux, ont besoin de pouvoir être mobiles dans leurs centres et dans le cas où le matériel serait saturé ou indisponible, peuvent avoir l’usage de leurs ordinateurs portables.
C’est là qu’intervient la Fondation Banque populaire qui a pris sur elle, et aussi en charge, l’ensemble des sites informatiques des lycées préparant aux grandes écoles à travers leurs classes préparatoires. Et dans la foulée, la même Fondation assure les charges et frais des connexions au web et les coûts afférents aux installations de systèmes wi-fi, pour une durée de trois ans et pour une quinzaine de sites.
Une cérémonie a matérialisé la chose le 1er avril, réunissant pour la signature de la convention le ministre de l’Education Rachid Belmokhtar et le président de la Fondation Banque Populaire Mohamed Benchaâboune. En ce 1er avril, les élèves futurs ingénieurs sont dans leurs écoles comme un poisson dans l’eau…
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