Ligue des champions, FC Barcelone-PSG, match retour

Ligue des champions, FC Barcelone-PSG, match retour

Clap de fin pour le PSG ?... 1-3 à l’aller. Tel était le résultat de la démonstration Blaugrana au Parc des Princes la semaine dernière. 7 jours plus tard, ce ne sont plus les remords et la honte qui hantent les esprits parisiens mais l’inéluctable dénouement. Qu’on se le dise, le miracle n’aura pas lieu ce soir au Camp Nou, l’objectif étant d’éviter de subir une nouvelle démonstration ce soir dans l’antre des Catalans.

Les esprits sont plus ou moins relâchés côté espagnol. La victoire du week-end face au FC Valence fut non seulement difficile, mais a aussi permis de mettre en exergue leurs difficultés à subir et à défendre sans le ballon. Côté terrain, après avoir planté la première banderille très tôt dans le match, les hommes de Luis Enrique se sont retranchés dans leur camp pendant toute la première période, à cause du pressing étouffant des Valencians. Une inspiration pour Laurent Blanc qui ne s’en cache pas en conférence de presse :

« Valence a montré l’exemple samedi, mais je sais que Barcelone avait joué trois jours plus tôt. On devra aller les chercher très haut, et être au top ».

Encore faudrait-il que les Parisiens soient au top de leur forme physique, ce qui semble difficile, eux qui sont encore en lice sur tous les tableaux. Un mince espoir se dessine pour le PSG avec le retour de leur maître à jouer Marco Verratti et de leur artificier en chef Zlatan Ibrahimovic. Deux joueurs capables de faire basculer un match et surtout de pouvoir faire circuler le ballon et empêcher l’équipe adverse de se balader avec durant 90 minutes. L’impact physique d’Ibra pourrait mettre à mal la défense adverse, ainsi que ses appuis dos aux buts qui lui permettront de distribuer des caviars à Lucas et consorts.

Dernier motif d’espoir et non des moindres : En 1984, le FC Metz avait renversé le grand Barça en inscrivant 4 buts au Camp Nou ! Un exploit historique auquel s’attache la presse française, et que la presse espagnol s’efforce d’oublier.

Metz que un club !

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